Le week-end de Pâques, c’est une sorte de Noël bis. Quelques jours de folie pendant lesquels on a tendance à enchainer les repas copieux et à plonger la main dans le paquet de chocolats sans compter. Et plutôt que de vous expliquer comment faire en sorte de bien digérer l’agneau de grand-mère nageant dans une sauce nappante mais très (trop ?) riche en gras, j’ai choisi de vous faire un éloge de la gourmandise, la vraie.
Éloge de la gourmandise
Éloge de la gourmandise
Éloge de la gourmandise
Le week-end de Pâques, c’est une sorte de Noël bis. Quelques jours de folie pendant lesquels on a tendance à enchainer les repas copieux et à plonger la main dans le paquet de chocolats sans compter. Et plutôt que de vous expliquer comment faire en sorte de bien digérer l’agneau de grand-mère nageant dans une sauce nappante mais très (trop ?) riche en gras, j’ai choisi de vous faire un éloge de la gourmandise, la vraie.